La question du micro-management est un véritable enjeu de performance – pour les managers, les collaborateurs et l’entreprise. Le micro-management agit comme un piège, souvent invisible, dans lequel il est facile de tomber. Cette tendance devient encore plus marquée quand le contexte économique ou politique rend les stratégies d’entreprise incertaines. Certains managers, par nature ou par besoin de contrôle, peuvent adopter sans s’en rendre compte des comportements de micro-management. Et en période de crise, cette posture peut s’intensifier. Alors, comment repérer les signes du micro-management ? D’où viennent-ils ? Et surtout, quelles sont les clés pour en sortir ?

Dans un monde du travail marqué par le télétravail, la rapidité des échanges et la pression du temps, le questionnement managérial tend à disparaître au profit de l’affirmation. Pourtant, poser les bonnes questions est un levier managérial fort pour développer l’engagement des collaborateurs et renforcer l’intelligence collective. Oser questionner, c’est ouvrir le dialogue, stimuler la réflexion et créer un climat de coopération durable.

Pour développer son leadership, un manager doit faire preuve d’influence. Pour autant, il est fréquent d’observer des relations de manipulation en entreprise. Dans cet article, nous vous proposons d’explorer ce dilemme, de trouver des pistes pour distinguer les deux concepts et bien percevoir les risques liés à chacun. Nous évoquerons également quelques clés concrètes pour développer une influence qui s’appuie sur la confiance de façon pérenne.

Les croyances influencent directement la manière de manager. Souvent invisibles, elles influencent nos décisions, nos postures et notre confiance en nous. Certaines nous aident, d’autres nous enferment. Identifier ces croyances, les questionner et apprendre à les transformer est une étape importante pour progresser dans le rôle de manager et développer un leadership plus conscient et plus efficace.

« Le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre. » – Nelson Mandela. Dans un monde du travail en constante évolution, les managers doivent affronter l’incertitude, prendre des décisions difficiles et assumer leurs choix. Cette capacité à oser dire, agir et décider est une qualité importante pour manager dans les contextes actuels. Le courage managérial est une compétence clé à développer. Nous ne parlons pas ici d’autoritarisme, mais bien de mettre en place les conditions pour créer la confiance, renforcer le leadership et engager les équipes.

Que l’on soit un manager de proximité ou un haut dirigeant, la rentrée de septembre est souvent synonyme de tourbillon et de charge mentale. La déconnexion pendant les congés est déjà trop souvent illusoire pour nombre de personnes. Et la pause estivale n’arrête pas l’activité, les projets s’accumulent. La rentrée de septembre, en plus d’une réorganisation personnelle à revoir, est souvent synonyme de tumulte. Le nombre de réunions qui reprennent en masse, les objectifs à réinitialiser dans la tête des équipes … Tout cela peut rapidement faire oublier les bienfaits des vacances d’été.

Être manager, c’est motiver, engager, faire monter en compétences, et c’est aussi devoir dire les choses : faire un recadrage, poser des limites, exprimer un désaccord. Mais comment s’affirmer sans froisser, braquer ou démotiver ses collaborateurs ? La limite entre fermeté et bienveillance est souvent fine et tenue, mais c’est une question qui se pose à tout manager. Dans un contexte où les attentes de reconnaissance et de respect sont fortes, savoir affirmer sa position sans blesser est une compétence relationnelle essentielle.

Désinformation, rumeurs, données biaisées : comment décider sereinement dans cette saturation d’informations ? Face à ce défi, théorisé par la loi de Brandolini sur l’asymétrie du baratin, le coaching de dirigeant devient un levier concret. Il aide les leaders à développer un leadership aligné, conscient et authentique, pour filtrer l’information, décider avec clarté et garder la confiance de leurs équipes.